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Posthumains

Posthumains, ONF

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Montréal 1947

Hôtel Saint-James, Archives de Montréal

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Les nombreux combats de Marie-Vic

Revisiter Marie-Victorin, botaniste et intellectuel aux nombreux combats

Yves Gingras, Le Devoir, 15/07/24

Il y a 80 ans, le 15 juillet 1944, l’un des plus grands intellectuels québécois du XXe siècle décédait précocement, à 59 ans, des suites d’un malheureux accident d’automobile. Le frère Marie-Victorin (né Conrad Kirouac le 3 avril 1885) revenait alors avec ses collaborateurs d’une herborisation à Black Lake après un léger détour vers Saint-Norbert-d’Arthabaska, lieu de ses étés d’enfance qui lui ont inspiré « La croix de Saint-Norbert » et « Sur le renchaussage » dans ses Récits laurentiens, parus en 1920.

Bien que le réflexe habituel soit de ramener l’oeuvre du frère des Écoles chrétiennes au Jardin botanique de Montréal et à la Flore laurentienne, cette image, qui le réduit à un simple botaniste, fait oublier sa stature de véritable intellectuel et les nombreux combats qu’il a eu le courage de mener avec l’appui constant des artisans du Devoir. C’est en effet toujours dans les pages du quotidien d’Henri Bourassa qu’il a fait connaître au public ses opinions et ses projets pour le développement du Québec moderne. Le jeune Marie-Victorin suivait d’ailleurs l’évolution du nouveau journal et, le 22 janvier 1911, il confiait à son journal (Mon miroir) : « Le Devoir a paru ! C’est le grand événement de la saison. »

Dans l’édition du 10 septembre 1915, Marie-Victorin, alors professeur au collège de Longueuil, commence sa collaboration avec les animateurs du journal nationaliste et publie, pendant un an, des « billets du soir » sous le pseudonyme « M. SonPays », dont le premier (« Not’ langue ») donne le ton et dénonce la politique d’assimilation des francophones ontariens incarnée dans le célèbre « Règlement 17 » interdisant l’enseignement du français dans les écoles primaires.

Une fois qu’il est devenu professeur de botanique à la toute nouvelle Université de Montréal, en 1920, sa parole publique prend du poids, et Le Devoir donne à ses sorties une grande visibilité, le plus souvent en première page. Ainsi, celle du 30 septembre 1922 porte sur deux colonnes son article « Vers la haute culture scientifique », dans lequel il rappelle qu’un « peuple vaut non seulement par son développement économique, industriel ou commercial, mais encore et surtout par son élite de penseurs et de savants, par son apport au capital scientifique de l’humanité ».

Être nous-mêmes dans un pays qui est le nôtre

Trois ans plus tard, Le Devoir publie (le 26 septembre) son texte probablement le plus virulent :« La province de Québec, pays à découvrir et à conquérir. À propos de culture scientifique et de libération économique ». Après avoir affirmé que « nos intellectuels ont pris l’habitude de passer l’été à Paris et l’hiver chez nous » et ignorent ainsi « de plus en plus le visage vrai de ce grand pays qu’est la province de Québec », il dénonce avec énergie l’exploitation des Canadiens français sur la Côte-Nord : « De grands troupeaux de nos compatriotes : hommes, femmes et enfants, poussés par la misère et l’inéluctable déterminisme des conditions économiques, sont jetés au coeur de cette forêt boréale, lointaine et inhospitalière, pour y mener une vie de paria dont nous n’avons pas l’idée. »

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Il ajoute qu’aucun « Canadien français — sauf les puissants du jour cultivés par les intéressés — n’a le droit de présenter la mouche au saumon dans les rivières poissonneuses de la province de Québec, ni de tirer un coup de fusil sur Anticosti, ni de tuer, où que ce soit, le gibier de mer ». Il ne reste, dit-il, « aux habitants de la Côte-Nord et de la Gaspésie qui n’ont pas le goût de chienner, le privilège de se lever à une heure du matin et d’aller en pleine mer, sous le froid de la nuit, pêcher à la ligne par soixante brasses de fond, une morue qui se dérobe souvent et qui, une fois prise et péniblement séchée, ne se vend pas toujours ».

Il conclut cette sortie radicale qui lui vaudra bien des critiques en souhaitant que « ceux qui ont à l’heure actuelle la mission de diriger les pas de notre jeune peuple et de lui donner des mots d’ordre se rendent à l’évidence de ces vérités, un peu dures peut-être, et qu’ils favorisent de toutes leurs forces la formation de l’élite scientifique dont nous avons un immense besoin ; c’est cette élite qui, en nous donnant, dans un avenir que nous voulons rapproché, la libération économique, fera de nous une véritable nation ».

Recevant en 1932 le prix Gandoger de la Société botanique de France, il profite de l’occasion pour rappeler (Le Devoir, 25 octobre) qu’il a, depuis dix ans, été à la tête de « luttes qu’il n’a pas cherchées, lutte pour l’existence, lutte pour la propreté scientifique, lutte pour nous évader, dans notre humble domaine, d’odieuses tutelles et d’un abject servilisme intellectuel ». Et il ajoute : « Parce que nous avons résolu une bonne fois d’être nous-mêmes dans un pays qui est le nôtre ; parce que nous avons résolu de ne pas accepter, sans les soupeser au préalable, des propagandistes qui n’ont rien à voir avec la France scientifique, parce que nous récusons le rôle de nègres blancs et que nous réclamons le droit de choisir nos maîtres et de déterminer nous-mêmes nos admirations ; parce que nous avons osé toutes ces choses terrifiantes, on nous a taxés de francophobie. »

Voir grand, voir loin

Après l’élection du premier gouvernement de Maurice Duplessis le 17 août 1936, Le Devoir publie les 25 et 26 septembre, toujours en première page et sur deux colonnes, un autre texte puissant de Marie-Victorin qui définit les grandes lignes d’une véritable politique scientifique : « Après la bataille, les oeuvres de paix ». Il complète ce programme quelques mois plus tard en exigeant, dans un texte-fleuve étalé sur trois jours (Le Devoir 27, 28 et 29 janvier 1937), la création d’un Institut de géologie. Le nouveau gouvernement répondra d’ailleurs positivement à toutes ses demandes, y compris celle de parachever le Jardin botanique, projet lui aussi lancé en première page du quotidien de la rue Saint-Jacques le 16 décembre 1929.

Lire Marie-Victorin permet de comprendre qu’en 1938, le journaliste Jean-Charles Harvey ait pu déplorer l’absence au Québec « d’une demi-douzaine de Marie-Victorin » qui, disait-il, transformeraient les Canadiens français « en moins de vingt ans ». On comprend aussi qu’un autre grand botaniste québécois, Jacques Rousseau, ait pu dire en 1970 que Marie-Victorin a été le père de l’université moderne au Québec.

Le général de Gaulle aurait dit à propos de la France : « certains pays ont trop d’histoire ». Ce n’est certainement pas le cas du Québec qui, au contraire, gagnerait à lire ses grands intellectuels. La pensée énergique de Marie-Victorin sur la science, la nature, la nation, la culture et les universités est à mon avis toujours d’actualité. Même ses profondes réflexions sur la sexualité et l’amour, échangées dans une correspondance unique avec son assistante et collaboratrice dévouée, Marcelle Gauvreau, peuvent encore nous inspirer, comme vient d’ailleurs de le montrer de manière magistrale le magnifique film de Lyne Charlebois, Dis-moi pourquoi ces choses sont si belles, qui a su porter à l’écran son regard personnel sur la singularité de l’amour qui a uni les deux personnages, mais aussi sa sensibilité à la beauté mystérieuse de la nature que Marie-Victorin a su fixer dans de nombreux textes « botanico-littéraires » maintenant réunis dans un ouvrage qu’il avait lui-même rêvé de publier (La Laurentie en fleur).

En somme, se rappeler périodiquement les grands personnages de notre histoire peut aussi être une occasion de les relire et même de s’en inspirer.

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Mettre les pendules à l’heure

Mettre le Québec à sa place

Jean-François Lisée, Le Devoir, 22/06/24

Pour tout vous dire, je retenais mes larmes, l’autre soir, en écoutant Céline Dion nous raconter son drame. Sur NBC, puis sur TVA, nous étions d’innombrables millions, un peu partout dans le monde, à tendre la main vers un mouchoir, tant était émouvante la petite, mais énergique enfant de Charlemagne, que le talent a portée vers les sommets et qui jure y revenir malgré les tourments que lui inflige son corps.

Pour tout vous dire, j’étais subjugué par la maîtrise des codes du gigantisme, de ceux du protagoniste contraint à l’héroïsme tragique et de ceux du déchirement amoureux conjugués par Denis Villeneuve, l’enfant de Bécancour, dans Dune qui est, selon Steven Spielberg, un des plus grands films de science-fiction jamais tournés.

Pour tout vous dire, je n’en revenais pas que l’émission américaine phare 60 Minutes déroule un tel panégyrique de Yannick Nézet-Séguin, ce chef d’orchestre fils de Montréal, qu’on s’arrache désormais d’une salle symphonique à l’autre.

Le César du meilleur film étranger à Monia Chokri, née à Sainte-Foy d’un père tunisien, pour l’intimiste Simple comme Sylvain, gagnant contre Oppenheimer, excusez du peu, n’équivaut-il pas à du bonheur national en bouteille ?

Non, mais est-ce normal, cette créativité qui tire des Québécois vers les sommets mondiaux de la qualité et du respect ? Vous me direz, c’est en culture. Il faut bien être au-dessus de la moyenne en quelque chose. Détrompez-vous : Yoshua Bengio, Québécois d’adoption qui est un des pères de l’intelligence artificielle, anxieux que sa progéniture tourne mal, est parmi les 100 personnes les plus influentes de la planète cette année, selon Time. On le consulte depuis l’ONU et la Maison-Blanche.

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Mais c’est l’économie qui compte, non ? Admettons. Avez-vous remarqué que nous devons désormais refuser l’entrée à des multinationales étrangères qui se bousculent à notre portillon pour profiter de ce que nous avons mis près de 75 ans à bâtir : notre énergie propre et notre système d’éducation ? Refuser des investissements étrangers, vous en connaissez beaucoup, de nations, qui sont riches à ce point ?

Notre réputation, vous dites ? Lorsqu’on calcule que, ces dernières années, un demi-million de migrants temporaires — travailleurs, demandeurs d’asile, étudiants — ont franchi nos frontières, sans compter les permanents, ne doit-on pas en tirer la conclusion que nous sommes spectaculairement attractifs ? Car, vous l’aurez remarqué, sur votre globe terrestre, nous ne sommes pas exactement à la porte à côté, mais plutôt au bout du bout des circuits de migration. Il faut faire exprès, le vouloir très fort, pour atterrir ici. Ces migrants savent peut-être quelque chose sur nous, notre qualité de vie, notre filet social, nos libertés, que nous nous refusons peut-être de nous dire à nous-mêmes, entre deux tirades — justifiées — contre nos cônes orange, nos listes d’attente en chirurgie et nos écoles mal climatisées.

Dans le fatras d’avancées et de reculs, de hauts faits et de ratages, que constitue l’histoire d’un peuple, se pourrait-il qu’on trouve dans notre récit un fil rouge qui atteste que la nation québécoise est (cramponnez-vous) exceptionnelle ? Je vous sens sceptique. J’appelle mon premier témoin : Charles de Gaulle. Saviez-vous que, réfugié à Londres après l’invasion allemande, il estimait que les Français devaient, dans cette épreuve dont on ne connaissait pas la durée, afficher une même farouche endurance que les 60 000 colons français abandonnés en 1759 sur les rives du Saint-Laurent ? Nous étions son étalon or de la résilience dans l’adversité. Il y reviendra plusieurs fois, évoquant avec admiration la « persévérance inouïe » des Québécois.

Je ne prétends pas que nous sommes, en tout temps, exceptionnels. Mais songez qu’en 1960, les jeunes francophones de 21 ans affichaient une éducation moindre que celle des Noirs américains du temps, alors victimes d’un racisme sans nom. Puis, face à une cible montante chez tous nos voisins, nous avons porté notre taux de diplomation postsecondaire des 25-64 ans plus haut (71 %) que celui des Américains (50 %) et plus haut que tous les pays du G7. Tous. Si vous ne trouvez pas cela exceptionnel, je ne peux rien pour vous.

Si seulement nous n’étions pas aussi obtus et fermés, non ? Ben, à quoi faites-vous référence ? À notre taux de bilinguisme, le plus élevé sur le continent ? Au fait que les membres des minorités, y compris visibles, sont plus présents sur notre marché de l’emploi qu’en Ontario, surtout les femmes, et qu’ils sont mieux payés que chez nos voisins ? Au fait que notre Assemblée nationale est exactement représentative de la diversité de la population (12 % de minorités visibles, 20 % de non francophones) ?

Peut-être, direz-vous, mais on porte un lourd passé xénophobe. Voyons voir : alors que les colons espagnols et britanniques pratiquaient le génocide des Autochtones, nos ancêtres furent les seuls sur le continent à négocier et à signer, en 1701, une « Grande Paix » avec 39 chefs autochtones. En 1798, des juges montréalais ouverts d’esprit déclarent l’esclavage des Noirs illégal au Québec, 26 ans avant sa disparition dans le Haut-Canada, 36 ans avant le reste de l’Empire britannique et 65 ans avant l’émancipation des Noirs américains. Puis, en 1832, notre Parlement, à majorité patriote (l’ancêtre du Parti libéral du Québec et du Parti québécois), vota une loi accordant la pleine citoyenneté aux juifs, ce que le reste de l’Empire britannique ne fera que 29 ans plus tard.

Percevez-vous une tendance, ici ? Ne serions-nous pas, en fait, des précurseurs ? N’avons-nous pas, avant d’autres, accepté la différence homosexuelle, les couples gais, le droit à l’avortement, celui aux soins de fin de vie ? Après une période terrible de dépossession des Autochtones, n’avons-nous pas été les premiers, avec René Lévesque en 1984, à reconnaître leur existence comme nation, puis à signer les premiers traités modernes — Convention de la Baie-James, paix des braves. N’est-il pas vrai que, selon le recensement de 2016, dans les provinces anglophones, les Autochtones vivant en réserve et connaissant leur langue d’origine ne dépassent pas les 46 %, alors qu’au Québec, c’est 80 % ?

Laissons Monia Chokri parler des femmes. Quand elle va en France, elle ose déclarer au Monde : « J’ai toujours l’impression d’un voyage dans le passé, de revenir 30 ans en arrière sur certains sujets, notamment sur les violences faites aux femmes, l’égalité, la tolérance, l’immigration. J’aime ce pays, mais je le trouve violent. C’est très différent au Québec, où il est très mal vu de se comporter en autocrate, de ne pas être gentil, respectueux avec tous. »

Imaginez : jusque dans les années 1960, les femmes étaient, ici comme ailleurs, des citoyennes de seconde zone, forcées par les curés à être dominées et fertiles. C’est pourquoi notre révolte laïque est imbriquée dans celle des femmes, et si fortement ancrée en nous.

Voyez, à l’étranger, le bien que Chokri dit du Québec. Denis Villeneuve explique aux Américains comment son expérience québécoise a teinté sa lecture de Dune. Nézet-Séguin a fait à 60 Minutes un éloge de la qualité de vie montréalaise inestimable. Chacun sait, de Milwaukee jusqu’au bout du Zimbabwe, que Céline vient d’une famille modeste de cette bizarre partie francophone du Canada, qui produit des êtres et des talents exceptionnels.

La modestie est une de nos grandes qualités. Entretenue, peut-être, par un environnement qui nous est souvent ouvertement hostile et accusatoire. On se contente d’être « pas pires ». On n’ose pas aller plus loin. Mais si, mettre le Québec à sa place signifiait reconnaître que cette place est à part ? Pas parfaite, mais historiquement admirable ? En fait, exceptionnelle ? Ce serait une audace folle. On ne pourrait se le permettre, je pense, qu’une fois par année. À la fête nationale.

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D’après le Protagoras de Platon

Plusieurs doctorants de lettres classiques de Sorbonne Université ont réalisé l’été dernier une adaptation du Protagoras de Platon, en version originale grec ancien sous-titrée. Ce film amateur, tourné en Sorbonne et soutenu par plusieurs organismes universitaires, est désormais en ligne

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Françoise Hardy (1944-2024)

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Pendaison des Patriotes 15 février 1839

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Paris s’éveille

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Les temps changent, les bouffons demeurent!

«Les bourgeois pleins de marde d’aujourd’hui déguisés en bourgeois pleins de marde d’autrefois célèbrent le bon vieux temps. Le bon vieux temps c’est la conquête anglaise de 1760.»

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6 juin 1944: Le Débarquement de Normandie

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Le communisme en Amérique

En 1981, Warren Beaty a réalisé un film remarquable sur la Révolution russe à partir du témoignage direct de John Reed, un journaliste américain. Ce film, Reds, nous fait comprendre qu’au début du XXè siècle le communisme était une idée bien vivante aux États-Unis. Voir Jacobin, Forty Years Later, Reds Is Still One of the Best Films Ever Made About Revolutionary Politics

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Joly Roger

À l’origine du drapeau pirate

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Rendez vous au Collège de France!

Tous les enseignements du Collège de France sont accessibles en ligne librement, gratuitement et sans inscription préalable

Fondée en 1530 sous le règne de François 1er,« le Collège de France est un établissement public d’enseignement supérieur et de recherche, institution unique en France, sans équivalent à l’étranger. Depuis le XVIe siècle, le Collège de France répond à une double vocation : être à la fois le lieu de la recherche la plus audacieuse et celui de son enseignement. Voué à la recherche fondamentale, le Collège de France possède cette caractéristique singulière : il enseigne « le savoir en train de se constituer dans tous les domaines des lettres, des sciences ou des arts ».

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Sirène, Nymphes et Satyre

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iPhone version 1947

A 1947 French Film Accurately Predicted Our 21st-Century Addiction to Smartphones

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