À 17 ans, celui qui allait devenir le réalisateur de 2001, l’Odyssée de l’espace, d’Orange mécanique et de The Shining, Stanley Kubrick prend des photos à New York
Source et d’autres photos: deMilked.com
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I Met Him at the Mudd Club, court métrage de Joppe Rog. Le musicien Nick Taylor y évoque sa rencontre à New York en 1979 avec Jean-Michel Basquiat, né aujourd’hui, le 22 décembre, en 1960 et avec qui il a fondé le groupe No Wave Gray.
Voir le film: https://www.nowness.com/iframe?id=3643559558001
Un autre film sur les débuts de Basquiat, le mythique Downtown 81
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Un film sur une photographie des années 30, présentée comme l’emblème d’une époque qui a fait naître le New York que nous connaissons aujourd’hui.
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Je me trouvais à New York à la fin du mois de juin dernier. J’y suis arrivé le 25 en début d’après-midi; temps splendide, le Washington Square Park en fleurs, promenade le long de la 4è rue dans le West Village où se trouve The Left Bank Bookstore, une minuscule librairie qui ne vend que des premières éditions ou des livres autographiés par leur auteur, et puis, à l’heure de l’apéro, bière en terrasse sur la 6è Avenue. Le bonheur. Mais voilà qu’autour de moi on s’affaire exagérément de iPhone en Blackberry: «Oh! My God!», « But I can’t beleive it!» et, finalement, l’une des deux filles assise à la table voisine se tourne vers moi: «Michael Jackson is dead!». Quelques heures plus tard, à Time Square, Michael Jackson géant et lumineux sur tous les écrans devant une foule plus stupéfaite que dansante. Ce soir-là, en rentrant par les petites rues de Greenwich Village, une odeur persistante, douce et sucrée, exactement le vers de Rimbaud «Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin».
«A true Apollo legend», pouvait-on lire le 30 juin sur la marquise du Apollo Theatre à Harlem tandis qu’une foule de fans inombrables fait la queue dans l’espoir d’assister à l’une ou l’autre des séances données en rafale en hommage à Michael Jackson. C’est dans l’antre de l’Apollo que lui et ses frères, les Jackson Five, ont débuté il y a une quarantaine d’année, sur cette scène qu’ils ont donné 31 spectacles en une semaine pour seulement $1000.00. On débute à l’Appolo, mais on y finit aussi, comme James Brown dont la dépouille fut exposée là, sur scène. Alors quoi? Michael Jackson dans le sillage d’Apollon? Un trait du dieu? On pouvait en effet le croire possédé au Grammy Awards en 1988…
Une vitrine à Soho
Le 7 juillet, de retour à Montréal, j’entends un pauvre homme à la radio qui n’en peut plus d’entendre parler de la mort de Michael Jackson. Ce n’est certes pas un dieu qui l’inspire celui-là, mais plutôt la moraline ordinaire: «Comment peut-on accorder autant d’importance à la mort d’un chanteur pop, alors qu’il y a la guerre en Afghanistan», etc. Il a raison, mais cela n’empêche qu’il reste encore à penser le fait que la mort d’un chanteur devienne «évènement planétaire». D’autant plus que Michael Jackson était, en un sens, déjà mort comme artiste depuis une bonne quinzaine d’années.
Une affiche dans le métro
S’il faisait parler de lui, c’était plutôt à l’occasion de ses chirurgies, de ses «mariages» ou de ses procès… Sa littérale transfiguration fascinait autant qu’elle inquiétait, son devenir monstrueux dans l’obsession de l’enfance lui conférait alors le statut d’un être sacré, maudit, proscrit. Et maintenant mort, tout le monde le pleure.
A comme dans Apollo 11 aussi, il y a quarante ans les premiers pas de l’homme sur la lune, le premier «moonwalk»…
B comme dans Blogue
Ici donc est en train de naître un blogue, sorte de carnets à entrées multiples consacrés aux activités du programme Histoire et civilisation du collège Marie-Victorin. Un lieu d’échange pour les professeurs et les étudiants, où l’on souhaite trouver des commentaires en lien avec diverses questions abordées dans les cours d’histoire, de philosophie, de cinéma, d’art, de sciences, de politique, de littérature… Mais aussi le compte rendu de la vie du programme, un forum de discussion, relais d’informations et autres considérations polémiques sur le caractère de l’époque actuelle. Bienvenue!
Bruno Lacroix
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