Belle photo de « Street art »!
Je serais curieux d’en savoir plus sur la relation que New-York entretient avec l’art urbain. Alors que cette forme d’expression définit l’âme de certaines grandes villes (j’ai eu la chance de visiter Berlin l’année dernière où, dans certains quartiers, un mur « vierge » était perçu comme un mur laid par les résidents eux-mêmes), d’autre villes comme Toronto mènent une lutte acharnée contre les graffeurs. Récemment, Rob Ford, le nouveau maire conservateur a soulevé toute une controverse en prenant la décision d’éradiquer toute forme d’art de rue à Toronto. Si les noueaux graffitis n’apparaissent plus pour très longtemps sous les ponts de Toronto, certains commençants ont aussi reçu l’ordre d’effacer des murales qu’ils avaient eux-même commandées en rémunérant des graffeurs pour couvrir légalement leur commerce. (voir http://news.nationalpost.com/2011/03/08/targets-balk-at-graffiti-cleanup-costs/)
Si tous peuvent s’entendre pour dire que certains « tags » ne contribuent pas à l’embellissement de la ville, qu’en est-il des murales où des artistes peuvent passer plusieurs heures à créer. Par ailleurs, est-ce que « légaliser » le street art en le confinant à certains endroits bien précis reviendrait à dénaturer cette forme d’expression? À cet effet, les groupes d’artistes qui vendent leurs services de graffeurs et qui ne créent que dans un cadre légal sont souvent perçus comme de véritables prostitués dans ce milieu…
Belle photo de « Street art »!
Je serais curieux d’en savoir plus sur la relation que New-York entretient avec l’art urbain. Alors que cette forme d’expression définit l’âme de certaines grandes villes (j’ai eu la chance de visiter Berlin l’année dernière où, dans certains quartiers, un mur « vierge » était perçu comme un mur laid par les résidents eux-mêmes), d’autre villes comme Toronto mènent une lutte acharnée contre les graffeurs. Récemment, Rob Ford, le nouveau maire conservateur a soulevé toute une controverse en prenant la décision d’éradiquer toute forme d’art de rue à Toronto. Si les noueaux graffitis n’apparaissent plus pour très longtemps sous les ponts de Toronto, certains commençants ont aussi reçu l’ordre d’effacer des murales qu’ils avaient eux-même commandées en rémunérant des graffeurs pour couvrir légalement leur commerce. (voir http://news.nationalpost.com/2011/03/08/targets-balk-at-graffiti-cleanup-costs/)
Si tous peuvent s’entendre pour dire que certains « tags » ne contribuent pas à l’embellissement de la ville, qu’en est-il des murales où des artistes peuvent passer plusieurs heures à créer. Par ailleurs, est-ce que « légaliser » le street art en le confinant à certains endroits bien précis reviendrait à dénaturer cette forme d’expression? À cet effet, les groupes d’artistes qui vendent leurs services de graffeurs et qui ne créent que dans un cadre légal sont souvent perçus comme de véritables prostitués dans ce milieu…